(1997)
Avec:
Pierce Brosnan (James Bond)
Jonathan Pryce (Elliot Carver)
Michelle Yeoh (Wai Lin)
Teri Hatcher (Paris Carver)
Réalisateur: Roger Spottiswood
Scénario: Bruce Feirstein
Décorateur: Allan Cameron
L'histoire: Panique à Londres! La frégate
Devonshire est coulée sans sommation au large de la mer de Chine. "M"
charge Bond de tirer cette affaire au clair. Sa mission: localiser l'épave,
remonter jusqu'au cerveau de toute l'opération, et châtier le coupable...
Un détail va lancer 007 sur la piste d'un empire multimédia dirigé par un
ex-citoyen de Honk-Hong, Elliot Carver. En effet, seul un satellite muni d'un
système de communication ultra-sophistiqué, connu sous le nom de base ACSES,
peut avoir permis d'intercepter les données de positionnement de la frégate.
Un système que pourrait
posséder Carver. L'enquête démarre à Hambourg où, après avoir pris livraison
d'une BMW 750 truffée de gadgets, Bond prend officiellement contact avec le
patron du quotidien, qui le premier a annoncer la catastrophe de la frégate.
Le plan machiavélique de Carver est simple: créer un incident diplomatique
majeur entre la Chine et la Grande-Bretagne, puis envoyer un missile nucléaire
sur la Chine, pour déclencher une troisième guerre mondiale, et ainsi booster
sa vente de journaux. Mais c'est sans compter sur James Bond, qui aidé de
Wai Lin (un duo qi ne s'entend pas trop au départ mais qui va "se
lier" au long de l'intrigue), va investir le laboratoire de Carver, récupérer
le codeur satellite, et enfin localiser et détruire le bateau furtif de Carver...tout
ceci au terme d'une longue et démente course poursuite.Et un Bond toujours
aussi séducteur.
L'ennemi: Elliot Carver, un magnat
de la presse qui rêve de dominer le Monde grâce à un réseau
de satellite.
Les hommes de mains: Un médecin spécialiste en instruments de
torture, un grand blond insensible à la douleur.
---> superbe poursuite à moto dans les rues de Saïgon.
--->saut en chute libre de 007, amerrissage à 45km/h.
retour au bond-film:
retour au bond-sommaire:
Film suivant: Le Monde ne suffit pas.