Tuer n'est pas jouer (1987):

 

Avec:
Timothy Dalton (James Bond)
Maryam d'Abo (Kara Milovy)
Jeroen Krabbé (général Koskov)
Joe Don Baker (Brad Whitaker)

Réalisateur: John Glen
Scénario: Richard Maibaum et Michael G. Wilson
Décorateur: Peter L'amont

Au cours d'un exercice d'entraînement, James Bond et les autres agents de la section double 0 doivent tenter de pénétrer les installations radars de la base militaire du rocher de Gibraltar. Bond ne tarde pas à s'apercevoir que quelqu'un ne joue pas le jeu. L'agent 004 vient de tomber du haut d'une falaise, sa corde d'escalade a, de toute évidence été coupée. 007 prend en chasse le meurtrier qui s'enfuit à bord d'une Jeep. La voiture quitte la route et tombe dans la mer. Bond s'en sort sain et sauf mais le tueur emporte, dans sa tombe marine, le secret de ses motivations. Quelques jours plus tard, à Bratislava, en Tchécoslovaquie, 007 et l'agent Saunders organisent le passage à l'Ouest du général Koskov du KGB. Il doit s'enfuir au cours d'un concert de musique classique Il gagne Bratislava, où un tireur d'élite est chargé de l'abattre.

Le tireur se révèle être une jeune femme séduisante: la violoncelliste Kara Milovy. Il la neutralise puis évacue Koskov en direction de l'Autriche, via le pipeline transsibérien. La belle Kara succombe bientôt au charme de 007 qui découvre que Koskov avait partie liée avec un riche marchand d'armes, Brad Whitaker. Bond tente alors de protéger Pushkin et de démasquer Koskov, mais ce dernier parvient à les embarquer de force dans un avion à destination d'une base afghane. Ils s'évadent et découvrent que Koskov et Whitaker s'apprêtent à envoyer aux Etats-Unis, un chargement d'opium brut d'une valeur de 500 millions de dollars. Ils parviennent à décoller avec la précieuse cargaison, mais Necros s'est glissé à bord de l'appareil et les deux hommes se livrent, dans les airs, un terrifiant duel, duquel Bond ressortira vainqueur!

Le vingt-cinquième anniversaire de 007 coïncide avec l'arrivée du quatrième James Bond, Timothy Dalton. Reconnu comme l'acteur dont la formation académique est la plus complète parmi tous ceux qui ont incarné 007, Timothy Dalton nous dévoile la face la plus sombre de l'agent secret, abandonnant la dimension humoristique introduite par Roger Moore. Le film est accueilli à bras ouverts par la critique, qui apprécie aussi le scénario, plus réaliste et plus crédible que les précédents. Une page est tournée, mais les scènes d'actions sont toujours aussi époustouflantes. Premier film de Timothy Dalton dans le rôle de James Bond, alors que l'on avait proposé le rôle à Tom Selleck (Magnum), et à Mel Gibson, qui l'a refusé, jugeant le rôle trop encombrant

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Retour aux Bond-films:

un dernier film (déjà) pour Dalton dans Permis de tuer.